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Ce voyage et ce projet n’auraient pas été possibles sans l’aide et la confiance de nombreuses personnes. Nous, Anaïs, Marine et Hervé, souhaiterions remercier de tout coeur celles qui ont contribué au financement de ce site internet à travers la plateforme Ulule : Jean-Marcel Lécrivain, Axel Dupont, Maï Kansou, Delphine Chasle, Julia Rouet-Leduc, Benjamin Peyrel, Déborah Gros, Laurence et Jean-Pierre Delprat, Thierry et Sophie Gilotte, Frédéric Bertrand, Rodrigo Apolaya, Miguel Moraes Cabral, Adeline Dufresne, Valentin, Antoine, Bertrand et Christine Delouvrier, Claire Rothiot, Mathieu Renouard, Marianne Brisville, Lucas, Manel, Carmina, Marc et Angels Siou, Monica Hassoun et Alexandre Dupont, Jean-François Chanet, Marie Bonnin, Benoît Coquil, marielauff1, Philippe Castillo, 47nord, Nausicaa Preiss, Pierre et Eva, Iris de Jessey ainsi que toutes celles et ceux qui ont acheté des livrets et des œuvres qui ont permis de compléter le financement de la production de ce site. Cela n’aurait pas été possible sans l’exposition présentée au Dorothy à Paris en juin 2018. Que toute l’équipe de ce magnifique endroit soit chaleureusement remerciée et en particulier Floriane et Foucauld. Par ailleurs, lors de la création de ce site internet, nombreux sont ceux qui nous ont aidés et donné des conseils. Nous voudrions en particulier remercier Clément Étienne et David Waldman ainsi que l’entreprise El Corriol qui a réalisé ce site et avec qui nous avons eu grand plaisir à travailler.
Ce voyage a été une aventure collective à laquelle beaucoup de personnes ont participé. Cela a notamment été possible grâce à l’espace d’échange que constitue la Casa de Velázquez. Aussi, nous voudrions remercier tout particulièrement Xavier Baudouin pour son soutien tout au long de ce travail. De même, Laurent Callegarin, Marianne Wasowska ainsi que tous les amis et collègues qui nous ont aidés et conseillés. De nombreux artistes et chercheurs ont participé à ce projet, y contribuant parfois par leurs travaux. Nous voulons remercier : Marie Bonnin, Ernesto Casero, Benoît Coquil, Charles-Élie Delprat, Eneko Hiriart, Manel Siou ainsi que Sarang Baktash, Carlos Femenías Ferrà et Jérémie Ferrer-Bartomeu. Sur la route, lors de repérages en amont ou bien par la suite, des amis nous ont accompagnés : merci à Quentin De Raguenel, Benoît De La Rüe, Marta, Cristina, Roman Mühlecker et Mar Fernández. D’autres nous ont fourni hébergement et conseils comme Mathias Rull et Laurent Coudroy De Lille. Nous voudrions également chaleureusement remercier nos relecteurs : Benoît Coquil, Paula Klein, Miguel Rodrigo, Marc et Angels Siou, Carlos Femenías Ferrà et Diego García Weber. Ainsi que ceux qui ont eu la patience de nous aider pour le travail du son : Eva Léger, Morgane Masterman, Léa Grange et Déborah Gros. Nous n’oublions pas non plus ceux qui sont toujours là et qui se reconnaîtront, nos proches et familles.
Enfin, et surtout, il y a toutes les personnes que nous avons rencontrées sur place, ceux qui nous ont orientés pour mieux connaître les territoires. Pour l’étape de la Silla del Papa: Guillaume Lemarchal, Laëtitia Borau, Ivan García Giménez et Oliva Otero. Pour Alquife : Yolanda Vera Cuerva, Rafael Checa, Bautista Molina, Hermenegildo Aguilera, Jesús Luis Molina Delgado et les habitués de l’Hogar del Pensionista, Andrés, son épouse et leurs bons petits plats ainsi que tous les habitants d’Alquife qui nous ont chaleureusement accueillis au village. Pour Villa de Ves: Vicente Jiménez García, Manuela Cruz Estudillo pour leur gentillesse et leur disponibilité, Rocío Piqueras et son mari pour cette belle soirée à Albacete, Ana Belén et sa sœur, Blas et sa famille. À El Quiñón, nous avons pu bénéficier des conseils avisés et des éclairages de Quentin Ravelli concernant les mécanismes complexes de la crise immobilière espagnole. À Sarnago, nous avons eu le plaisir de rencontrer à plusieurs reprises José Mari Carrascosa qui nous a accueillis au village, faisant parfois plusieurs centaines de kilomètres pour pouvoir nous recevoir. Pour Rodén, nous souhaiterions remercier l’association Torre-Rodén et particulièrement son président, Alfonso Soro ainsi que Carlos Bitrián, pour nous avoir expliqué ses travaux de recherche sur l’histoire du village. Un grand merci également aux habitants Román Salvador et M. Aguilar. De nombreux travaux ont été consacrés à l’histoire de Mediano mais comme rien ne vaut l’information de première main, nous souhaitons remercier ceux qui ont gentiment accepté de nous livrer leur savoir et leurs souvenirs, notamment José Luis Cuesta et Ramón López. Également le groupe La Ronda de Boltaña pour nous avoir permis d’utiliser un extrait de leur jolie chanson La dama del lago. Lors de nos séjours dans le Sobrarbe nous nous sommes rendus dans de nombreux villages abandonnés et parfois réhabilités. Nous souhaiterions aussi remercier José Antonio Rumeu, Paquita et leur fils, Toni, installés à Mipanas, pour cette belle visite de leur village repeuplé et leur chaleureux accueil ainsi que José Antonio Rufas Alastrué, de Ligüerre. Nous nous sommes rendus à Solanell à plusieurs reprises. Nous y avons rencontré une belle équipe que nous souhaitons vivement remercier : Saül Garreta, Enric, Pep, Miquel, Tomas, Conchi, Mario, Sara, Pere et tous les autres. Continuez ce beau projet !
Ce voyage a été une très belle aventure… qui n’est pas prête de s’achever. L’exposition, aujourd’hui, continue à tourner et des voyageurs ont commencé à suivre notre périple. Et puis nous avons engrangé tant de souvenirs ineffaçables ! Car en effet, comment oublier ce départ en fanfare avec ce formidable garagiste de la rue Divino Vallés qui a su nous dépanner alors que les bagages étaient chargés mais que la voiture ne voulait plus se fermer ? Comment oublier l’enthousiasme des repobladores, les souvenirs des mineurs d’Alquife, le paysage fabuleux de l’Ensenada de Bolonia, les calçots de l’Ainsa, la formidable montée au château de Samitier ainsi que la soirée à Saragosse où abondaient chants et fromages, la folle virée andalouse de repérage, ce tunnel plein de chauves-souris et la descente des marches pour arriver à l’usine de Villa de Ves, les sourires et le bonheur d’être ensemble à Solanell… Quand est-ce qu’on repart ?
